Pisteurs, dameurs, artificiers, maîtres-chiens d’avalanche, conducteurs de remontées mécaniques etc...
Pour cette saison nous avons décidé de lever le voile sur les femmes et les hommes qui œuvrent dans l’ombre des stations de ski pour assurer sécurité et qualité de glisse, et dont peu de vacanciers connaissent le rôle.
Des métiers techniques, exercés par des passionnés qui sont essentiels au fonctionnement des stations et constituent des piliers de la vie en montagne.
Les équipes de la STOR (Société des Téléphériques d’Orelle) ont ainsi été mis à contribution sur 3 opérations :
● Une campagne de communication mettant en scène les équipes
● Un film tourné avec le speedrider et athlète Redbull Valentin Delluc, qui réalise l’exploit de survoler le domaine skiable en pleine exploitation et dans lequel l’équipe de la station joue son propre rôle.
● Une exposition photo de portraits d’une quinzaine de métiers emblématiques à découvrir dans les locaux de l’Office du Tourisme d’Orelle et aux abords du bâtiment de la télécabine jusqu’à la fin de la saison !
À travers cette approche, Orelle - Les 3 Vallées a souhaité :
● Sensibiliser aux exigences de sécurité en montagne en rendant visible les moyens techniques et humains nécessaires à la sécurisation des domaines skiables
● Humaniser la station en dévoilant les parcours de femmes et d’hommes passionnés
● Générer des vocations pour ces métiers exigeants
N’hésitez pas à prendre contact avec l’Office du Tourisme pour plus de renseignements au 04 79 56 87 22.
À propos de Valentin Delluc (https://www.instagram.com/valentindelluc/)
Passionné de tout ce qui vole et prodige mondial du speedriding, Valentin repousse les limites de sa discipline dans des vidéos vues des millions de fois qui contribuent à populariser le speedriding auprès du grand public.
Athlète Redbull depuis 2016, il aime se lancer des défis inédits comme celui proposé par Orelle - Les 3 Vallées. À travers ce projet, Valentin a voulu rendre hommage aux métiers de la montagne dans lesquels il a baigné toute sa vie grâce à ses parents et qu’il estime trop peu valorisés.
